Catégorie : Santé

5 questions les plus courantes sur la varicelle

La varicelle fait partie des maladies dont on peut souffrir au moins une fois dans une vie. Chaque année, beaucoup de parents se bousculent pour se renseigner sur ce virus qui touche majoritairement les enfants. C’est pourquoi nous avons décidé de répondre aux 5 questions les plus courantes sur la varicelle. Sans plus attendre, commençons par le vif du sujet.

1.    La varicelle est-elle dangereuse ?

La varicelle n’est pas dangereuse si l’on est touché à l’enfance. La raison est que le corps dispose de toutes les ressources nécessaires à cette période pour la gérer. Les anticorps présents dans l’organisme sont résistants et permettent de se débarrasser de la varicelle après quelques jours.

Cependant, les risques de complications sont plus élevés chez les nourrissons et les adultes. En effet, contrairement à un enfant, les ressources ne sont pas assez fortes pour lutter efficacement contre la varicelle. Chez les adultes, ces complications peuvent aboutir vers une pneumonie ou une encéphalite.

2.    Le vaccin est-il efficace ?

Pour répondre tout de suite à cette question, la réponse est OUI, le vaccin est efficace. S’il est fait dans les temps, il permet non seulement de guérir un malade, mais permet également de renforcer les défenses immunitaires de ce dernier. Ainsi, il n’attrapera plus la varicelle au cours de sa vie, car les anticorps sont renforcés.

Une autre efficacité du vaccin est que son effet peut durer jusqu’à six ans. En d’autres termes, celui qui a été vacciné sera donc bien protégé des virus de la varicelle-zona. Il ne devrait rien risquer même s’il est en contact direct avec un malade contagieux de la varicelle.

3.    Est-ce que tout le monde doit avoir la varicelle ?

90 % des gens sont atteint au moins une fois de leur vie de la varicelle. Ce chiffre permet donc de dire que presque tout le monde est concerné par ce virus. D’autres chiffres indiquent également que la majorité des personnes touchées sont des enfants de moins de 14 ans. Ce qui rappelons-le est la tranche d’âge idéal pour la contracter.

Certaines personnes, bien que rare possèdent des anticorps pouvant les protéger de la maladie. Elles seront donc les exceptions qui confirment la règle, c’est-à-dire qu’elles ne seront jamais touchées par le virus des varicelles-zona. Par ailleurs, des études aux États-Unis montrent que le vaccin réduit jusqu’à 80 % le taux des malades de la varicelle.

4.    Comment la varicelle se transmet-elle ?

La varicelle est une maladie très contagieuse. Elle se transmet par contact avec les lésions d’un malade et/ou par contamination de l’atmosphère. Le virus pénètre dans l’organisme par l’intermédiaire des voies respiratoires. C’est deux jours après la contraction que la varicelle est la plus contagieuse.

5.    Comment la prévenir ?

Le vaccin est le meilleur moyen de prévenir la varicelle. Ce dernier renforce les défenses immunitaires qui seront assez résistantes pour contrer la maladie. Le vaccin peut se faire à partir de 12 mois. Cependant, ce n’est pas obligatoire de se faire vacciner contre les virus de la varicelle zona.

Si votre enfant n’a pas encore eu la varicelle, évitez de le mettre en contact avec des enfants qui l’ont contracté. Néanmoins, ces derniers devront généralement se reposer quelques jours chez eux pour limiter la propagation du virus et pour guérir de la varicelle.

Bébé pleure trop, quelles sont les causes ?

Un bébé qui pleure est chose normale, sauf quand ses pleurs deviennent trop fréquents ou quand il ne veut plus s’arrêter. Apprenez à déceler les causes de ses cris et découvrez comment le calmer.

Apprenez à écouter votre bébé

Evitez surtout de laisser bébé pleurer sans agir. Comme il ne sait pas encore parler, il ne communique qu’avec ses pleurs. A vous de traduire ses cris, apprenez à les connaître pour mieux l’apaiser. N’hésitez pas à satisfaire les demandes de votre enfant, du moins durant ses trois premiers mois. En effet à cet âge-là, bébé pleure au moins 2 heures par jour. Cependant un bébé ne pleure jamais pour rien.

Pourquoi bébé pleure-t-il ?

Quand un bébé pleure, cela peut signifier qu’il a faim ou soif. Il commence d’abord par gémir, et si vous ne réagissez pas, ses cris deviennent de plus en plus stridents.

Un bébé peut aussi pleurer parce qu’il a sommeil. C’est le cas des nourrissons des de deux ou trois mois, ils pleurnichent et s’agitent lorsqu’ils cherchent le sommeil. Apaisez-le en le prenant dans vos bras, en le berçant ou en le murmurant de mots doux. Pour aider bébé à faire ses nuits, mettez-le dans son berceau dès que ses yeux commencent à fermer. Il faut le laisser dormir seul et de temps en temps, il faut aussi le laisser pleurer un peu. Retrouvez d’autres conseils sur le site de Je suis papa.

Quand bébé crie ou pleure, cela veut aussi dire que quelque chose le gêne. Sa couche peut-être ? Quand est-ce que vous l’avez changé la dernière fois ? Il se peut qu’il ait froid ou qu’il soit trop couvert. Il est aussi courant de voir un nourrisson pleurer juste avant le rot.

Ensuite au fil du temps, bébé commence à pleurer pour d’autres raisons. Vers six mois, il commence à prendre conscience de son environnement. Il pleure quand il se sent seul, notamment quand vous le laissez dans son berceau. Un bébé peut aussi pleurer de frustration ou de colère, voire de peur quand il sent abandonné, ou encore de jalousie quand vous devez vous occuper de l’aîné. C’est le moment de lui apprendre à jouer seul, en attirant sa curiosité avec de nouveaux jouets, de lui parler et de le rassurer quand vous devez par exemple le laisser seul un moment dans son parc.

Bébé ne veut pas arrêter de pleurer

Durant ses premiers mois, bébé peut être sujet à des coliques. Il pleure fort, se tortille et agite ses jambes. Pour l’apaiser, massez doucement son ventre par des mouvements circulaires et tenez-le au chaud.

Vous n’arrivez pas apaiser votre enfant ? Dans ce cas vérifiez sa température. Des pleurs forts et intenses peuvent en effet révéler une douleur ou une fièvre. A plus de 38.5°, vous pouvez lui donner du paracétamol, le temps de l’emmener voir un médecin.

Les reflux gastro-œsophagien sont aussi courants chez les nourrissons. Bébé pleure après chaque tétée et régurgite souvent son repas. Dans ce cas, un traitement chez le pédiatre s’avère nécessaire.

Aider son enfant à mieux dormir la nuit

Tous les soirs, mettre son enfant au lit est une tâche délicate pour tout parent. L’enfant est souvent anxieux à l’idée de rester tout seul dans sa chambre, comme s’il était soudainement coupé de ses parents et livré à son propre sort. Il est du devoir des parents de trouver des moyens efficaces pour permettre aux petits de passer une agréable nuit en toute sérénité. Ces quelques conseils permettront d’aider un enfant à mieux dormir la nuit.

Améliorer le confort de sa chambre

Un enfant se sent toujours comme isolé du reste du monde lorsque l’heure d’aller se coucher arrive. Il aura une impression que la chambre à coucher est une sorte de prison où l’on doit absolument l’enfermer tous les soirs. Pour enlever cette vilaine pensée, il est possible de décorer sa chambre suivant les choses qu’il aime : personnages de dessin animés, lits en forme de bateau ou de château, etc. Le but est de lui faire comprendre que son lit est un endroit dont il n’a rien à craindre. D’ailleurs, le confort ne s’arrête pas aux seules décorations. Il faut aussi s’assurer que son lit lui permettra de passer un agréable sommeil. Il est possible de lui acheter un matelas en mousse afin qu’il puisse sombrer paisiblement dans un profond sommeil.

Le réconforter avant de dormir

Un enfant a souvent peur du noir, peur de la nuit. C’est d’autant plus frustrant pour lui de savoir qu’à ce moment qu’il redoute le plus, il sera tout seul, ce qui risque de lui faire passer son sommeil. Il faudra alors le rassurer qu’il ne lui arrivera rien. Lui offrir des peluches qui lui tiendront compagnie jusqu’au matin est une technique particulièrement efficace. Le parent peut aussi faire semblant de renvoyer tous les monstres imaginaires qu’il redoute dans cette obscurité avec un coup de baguette magique par exemple. L’objectif est que l’enfant se sente en sécurité quand il sera tout seul.

Instaurer le rituel du sommeil

Le rituel du sommeil est une succession d’étapes qui permettront de faire migrer l’enfant de la phase d’éveil vers la phase de sommeil. Le principe est simple : il suffit d’effectuer tous les soirs les mêmes gestes pour que l’enfant comprenne facilement que l’heure d’aller se coucher approche. Par exemple, on commence par le mettre au lit, puis lui raconter une histoire comme ces 5 histoires avant de dormir, lui faire un petit câlin et enfin lui dire bonne nuit en sortant et éteindre la lumière. L’essentiel est que toutes les étapes soient réalisés chaque dans le même ordre pour qu’il comprenne automatiquement qu’il va dormir.

Lui apprendre à dormir seul

A son jeune âge, l’enfant n’arrive pas toujours à s’endormir tout seul. S’il est bien parfois de lui chanter une petite berceuse, il ne faut pas trop l’y habituer, surtout quand il grandit. Il faut l’habituer à s’endormir facilement au contact de son lit et en se séparant de lui la nuit avant qu’il ne s’endorme. Le fait de dormir ou non avec son enfant peut également avoir un impact sur son indépendance. La nuit, quand il se réveille, il faut lui apprendre à se rendormir tout seul. Pour cela, il faut veiller à ce qu’il fasse ses besoins avant de se coucher et lui poser un verre d’eau sur sa table de chevet afin qu’il n’ait plus besoin de quitter son lit.

Comment savoir si mon enfant a attrapé la gale à l’école ?

Comme toute autre maladie, la gale en est une qui peut se transmettre à l’école. Contagieuse et dès fois bénigne, elle affecte toutes catégories de personnes, mais le plus souvent ses victimes sont des enfants. Elle se manifeste à partir d’une irritation cutanée, par le biais des parasites appelés sarcoptes ou bien par divers allergies, tels que les œufs et même les excréments de ces parasites. Cependant, comment se manifeste-t-elle et quels sont les symptômes de la gale qui peuvent se présenter ?

La détection de la gale chez un enfant

Etant l’œuvre des sarcoptes, la gale est une maladie de la peau qui se transmet de différentes manières. En effet, la transmission de la gale se fait par le biais d’un contact direct avec une personne déjà atteinte de la maladie, c’est-à-dire de peau à peau comme par un élève à l’école. Cependant, il est à noter que sa manifestation peut être différente chez un enfant. Pourtant, elle peut bel et bien affecter un adulte. Pour un enfant, la gale le fait beaucoup gratter. Par ailleurs, il y a des boutons rouges qui apparaissent un peu partout sur son corps et tout particulièrement, sur les parties telles que ses aisselles, ses coudes, son bas ventre, ses doigts, ses poignets et parfois même son sexe. Aussi, ses boutons peuvent être présents sur le bord du pied ou même sur la rotule. Pour les enfants d’un âge avancé, cette maladie se manifeste surtout au niveau de la paume des mains, du visage, de la plante des pieds et du cuir chevelu.

Par ailleurs, afin de bien déterminer ce qu’est réellement la gale, il est primordial de connaître les différents symptômes qui s’y rapportent. À cela, il se peut que vous soyez face à différentes lignes fines ou même argentées qui sont visibles sous la peau. Ces dernières indiquent en effet le passage des sarcoptes. Aussi, il se peut qu’il y ait présence de petites pustules ou même des points enflammés qui contiennent du pus ou des ampoules recouvertes de liquide, sur la peau. De même, l’irritation peut se multiplier chez les enfants pendant la nuit, mais également après avoir effectué un bain. La gale se développe entre deux à six semaines si l’enfant en est victime pour la première fois tandis que la réaction se manifeste en seulement quelques heures dans le cas où l’enfant en a déjà été victime auparavant.

Le traitement de la gale chez un enfant

Différentes procédures en cas de la gale dans les écoles doivent être respectées pour éviter qu’elle se propage et affecte les autres élèves de l’établissement. Ainsi, pour traiter la gale, il existe différents types de remèdes efficaces, à savoir les traitements naturels et les traitements médicamenteux. À cela, on peut non seulement utiliser du savon blanc et de l’alcool, mais aussi des feuilles d’abricot. Pour cela, vous devez extraire le jus de plus de vingt feuilles d’abricot et l’appliquer ensuite sur la peau de votre enfant. Par ailleurs, l’extrait de feuille de pilon est à mélanger avec quelques gouttes d’huile de sésame pour soigner la gale.

La gourde amère, à mélanger avec une cuillère à café de jus de citron est également à consommer une fois par semaine. En cas d’une consultation chez le médecin, une crème médicamenteuse est prescrite pour l’enfant et doit être étalé sur le corps. Son application se fait la nuit, après avoir effectué un bain à l’eau fraîche. Pour l’irritation, une lotion de base à base de cortisone ou un antihistaminique lui sera prescrite outre les différents antibiotiques.

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